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SOMMAIRE
1. FEUILLE DE STYLE - Mode d’emploi du modèle de mémoire
2. Conseils de rédaction et de présentation
3. Revues scientifiques en SIC
Une feuille de style garantit l’homogénéité de la forme du document, elle offre à l’auteur un gain de temps appréciable et permet la génération automatique de la table des matières.
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Vous trouverez sur la page de votre formation du site de l’IFP (www.ifp.u-paris2.fr/ ) le GUIDE DE REDACTION DE MEMOIRE DE M1 ET DU, deux feuilles de style sont mises à votre
disposition pour faciliter la rédaction, la présentation et la lecture à l’écran de votre mémoire.
Selon le logiciel de traitement de texte que vous utilisez, choisissez
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(NB : pour ceux qui travaillent sous Word 2007, ouvrez la feuille de style " Modèle Word.doc " puis enregistrez-la au format .docx propre à la version 2007.)
Prise en main
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Parcourez rapidement la feuille de style : les pages liminaires sont les pages de présentation courante d’un mémoire :
Sur la page de couverture, remplacez et complétez les informations dans les zones prévues à cet effet. Chacune s’écrit alors selon le style retenu dans le modèle.
Pour compléter les pages suivantes (Remerciements, Résumé etc.), positionnez le curseur après le titre de la page ou du paragraphe et cliquez sur envoi : le curseur se positionnera à l’endroit voulu et le style adopté sera le style choisi par la feuille de style.
Rédaction
Dans le volet des styles qui est affiché à l’écran, vous constaterez qu’il existe des Titres de niveaux différents : de titre 1 à titre 9 : le titre 1 est le titre hiérarchique le plus fort, il sert à écrire le titre des parties, le titre 2 vient juste en dessous etc.
Pour vous aider, voici un exemple de hiérarchie :
Sélectionnez l’ensemble du texte et des chiffres d’un titre et remplacez-le par le texte qui vous est propre : il s’écrira dans le même style.
Cliquez ensuite sur envoi : le style suivant sera le style Normal (celui du texte courant), le curseur se positionnera et vous pourrez rédiger.
Bien entendu, vous êtes libre d’utiliser ou pas l’ensemble des titres mis à votre disposition, et de les nommer et numéroter comme bon vous semble ou plutôt selon l’usage de votre discipline de mémoire : (paragraphe, section, etc.).
Pour les parties suivantes, il vous suffit, après avoir positionné votre curseur, de cliquer sur le style de titre choisi dans le volet des styles pour que votre texte s’écrive directement selon ce titre.
Comme vous le constatez, la page « sommaire » est pré-remplie.
Au fur et à mesure de la rédaction de votre mémoire, il vous faut la mettre à jour pour que les titres et numéros de pages soient les bons. :
Positionnez-vous sur la page « sommaire », faites un clic droit (Windows) ou contrôle clic (Mac) puis cliquer sur « mettre à jour les champs » (Word) ou « actualiser l’index » pour Writer : la table des matières se mettra à jour automatiquement !
Lorsque vous ouvrez votre document, la page « sommaire » est active et vous permet de naviguer où vous le souhaitez à l’intérieur de votre document.
Quel que soit le format que vous choisirez, il offre la possibilité d’insérer des notes de bas de page et citation.
Pour les notes de bas de page vous choisirez la numérotation en continu.
Vous placerez vos citations textuelles entre guillemets et choisirez le style « citation »
La recherche effectuée sous la conduite de la directrice/du directeur de mémoire aboutit à la production d'un mémoire de 50 pages de texte (M1), de 30 pages de texte (DU) (annexes documentaires et bibliographie non comprises).
Le séminaire principal fait l’objet d’une notation continue (CCAC / 20) pour chaque semestre et le mémoire est noté sur 60 (coefficient 3).
Toute citation textuelle doit être encadrée par des guillemets et de préférence composé en italique. Les références précises de l’origine de la citation doivent figurer en note de bas de page et indiquer la page exacte (cf. forme : feuille de style). De même, toute référence à une idée, concept ou un auteur doit figurer en note de bas de page même s’il ne s’agit pas d’une citation.
Citer ne veut pas dire plagier. Le plagiat est une fraude particulièrement grave. En effet, conformément à la déontologie académique et aux dispositions juridiques relatives à la propriété intellectuelle, est considéré comme plagiat tout passage emprunté à une source dont vous n’êtes pas l’auteur, sans les assortir de guillemets et de l’indication précise de l’origine de l’information (référence bibliographique, site internet, etc.). De même que la paraphrase, la traduction et/ou la reprise d'un texte dans sa substance ne sont pas davantage acceptables, à moins de la préciser et de la référencer. La reprise de textes pris sur Internet, de travaux non publiés ou d'autres sources, constituent tout autant un plagiat que celle de travaux publiés. Même si toutes les sources sont correctement indiquées, un travail écrit qui ne fait que reprendre tels quels ou compiler les écrits d’autrui est insuffisant en raison de l’absence d’une véritable contribution personnelle et scientifique du travail rendu.
N.B. toute citation de plus de 10 lignes, extraite d'un ouvrage de moins de 50 ans, peut être
soumise à des droits de reproduction.
Elles sont signalées par un appel de note dans le texte, à la suite d’un nom, d’un mot ou d’une citation. Quant il s’agit des références à un auteur ou à un document, elles sont rédigées suivant les règles bibliographiques en vigueur et sur la base de la feuille de style.
Si le document (extrait de texte, graphique, photographie etc.) figure en annexe, cette mention doit figurer dans la note :
La note de bas de page peut aussi être un commentaire ou une remarque destinés à éclairer le texte.
D'une manière générale, sont renvoyés en annexes les textes ou les tableaux dont l'importance romprait le suivi du propos, ainsi par exemple que les guides d’entretiens.
Les annexes doivent être numérotées et paginées à la suite du texte, même s'il s'agit de photocopies. Elles doivent être annoncées dans le texte par une note renvoyant à leur page.
Tous les ouvrages cités dans le mémoire doivent être présents dans la bibliographie, ainsi que tous les ouvrages non cités mais qui ont servi à l’élaboration du travail. Pour toutes les sources imprimées, les œuvres sont classées par ordre alphabétique. Les règles
universitaires correspondent aux normes catalographiques des bibliothèques. Elles sont très précises et strictes :
Ouvrage :
DUPONT Jean-Pierre. Le Trésor de la sémiologie. Paris : Denoël, 1988, 256 pages.
Ouvrages ayant plusieurs auteurs :
SCHWARTZ Hugo, et al. La Radio en crise . Lyon : Presses universitaires de Lyon, 1989, 248 pages.
Ouvrages collectifs sous une direction :
Les Journalistes français / éd Jean BERTAL et Frédéric ROLAND. Paris : Hachette, 1992, 432 pages.
Citation d’une contribution à un ouvrage collectif :
HATIN Amélie. Les journalistes wallons, p.236 à 280, in Van BOL Marc, et al. La Presse belge contemporaine,
Liège : Editions de la Meuse, 1988, 386 p.
MARTIN Paul. La censure dans le cinéma guatémaltèque. Revue hispanique juillet 1986, vol. VI, n°4, pp. 38-57.
LE FOURNIER, Viviane. Le consommateur-internaute, entre projections et pratiques. Th : Sciences de l’information et de la communication. Paris II : 2005, 2 vol., 719 p.
LES TECHNOLOGIES DE L’INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION : POUR QUELLE SOCIETE ? : Colloque,
Compiègne, Université technologique, 28/30 avril 1997 / éd. M.-N. Sicard et J.-M. Besnier. Compiègne, UTC- Département Technologie et Sciences de l’Homme, 1998, 273 p.
L'usage actuel du code typographique est de ne pas mettre de points entre les lettres. Ex. SNCF - CNRS (et non C.N.R.S.).
au même auteur, dans des notes qui se suivent, mettre idem la première fois, puis id.
ensuite ;
à un ouvrage unique, mettre ibidem la première fois, puis ibid. ensuite ;
à un ouvrage déjà mentionné, parmi plusieurs du même auteur, mettre l'auteur, le titre, puis op. cit. (remplace les références) et la (ou les) pages. Les abréviations latines op. cit., ibid., sont à mettre en italique, comme les termes étrangers.
A. Les sources documentaires
Les sources documentaires a/ Sources d'archives
Il est important de distinguer entre sites web et webographie :
DAMIAN-GAILLARD Béatrice, REBILLARD Franck, SMYRNAIOS Nikos (2009), « La production de l’information web : quelles alternatives ? Une comparaison entre médias traditionnels et pure players de l’internet », International conference on nemedia and information, 6/9 mai 2009, Athènes, Grèce), 11p. URL :
http://nikos.smyrnaios.free.fr/francais/communications.html (dernière consultation: xx/yy/zzzz).
LETEINTURIER Christine (2013), « La Commission de la carte d’identité des journalistes professionnels et la légitimation des journalistes en France », in Sur le journalisme - About journalism - Sobre jornalismo, revue scientifique internationale, (http://surlejournalisme.com/rev)
InaGlobal, La revue des industries créatives et des médias, http://www.inaglobal.fr/ (dernière consultation: xx/yy/zzzz).
Dans cette même logique, les références aux articles et documents imprimés restent identiques, mais devraient, quand elle est disponible, renvoyer à la version électronique, sauf quand il s'agit des BDD de types Cairn ou Persée qui sont alors référencées comme telles :
DUPUY Camille (2010), « L’entreprise de presse en conflit. Libération et Le Monde en restructuration », TRAVAIL ET EMPLOI, 124, octobre-décembre 2010 http://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/Dupuy.pdf (dernière consultation: xx/yy/zzzz).
Des référencements web similaires peuvent aussi être accolés à d'autres composantes des mémoires : données statistiques, cartes, diagrammes, images, etc. Par exemple :
Evolution des revenus mensuels bruts moyens des journalistes en euros constants de 2000 à 2012. Source : ANR-AMMEJ / Observatoire des métiers de la presse ; http://www.metiers-presse.org/ (in C. Leteinturier, dir. "Les journalistes français et leur environnement : 1990 - 2012, le cas de la presse d’information générale et politique", éditions Panthéon-Assas, 2014.)
Cette liste non-exhaustive des revues scientifiques en SIC (online ou imprimées) peut vous être utile pour la recherche bibliographique. Ces revues peuvent être consultées pour la plupart via votre compte ENT étudiants en vous connectant sur les plateformes suivantes :
http://www.persee.fr/web/guest/home
http://www.revuesonline.com/portail/
AIDA INFORMAZIONI, Rivista di Scienze dell’informazione
ANNUAL REVIEW OF INFORMATION SCIENCE AND TECHNOLOGY BULLETIN DES BIBLIOTHÈQUES DE FRANCE
CANADIAN JOURNAL OF INFORMATION AND LIBRARY SCIENCE - REVUE CANADIENNE DES SCIENCES DE L’INFORMATION ET DE BIBLIOTHÉCONOMIE
CIENCIA DA INFORMACAO COLLEGE & RESEARCH LIBRARIES COMMUNICATION COMMUNICATION ET LANGAGE
COMMUNICATION ET ORGANISATION COMMUNICATION MONOGRAPHS COMMUNICATION RESEARCH COMMUNICATION THEORY
CRITICAL STUDIES IN MEDIA COMMUNICATION CULTURE ET MUSÉES
DISTANCES ET SAVOIRS
DOCUMENTALISTE-SCIENCES DE L’INFORMATION DOCUMENTATION ET BIBLIOTHÈQUES
ÉTUDES DE COMMUNICATION
ENJEUX DE L’INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (Les) EUROPEAN JOURNAL OF COMMUNICATION
HERMES
JOURNAL OF ADVERTISING RESEARCH
JOURNAL OF APPLIED COMMUNICATION RESEARCH JOURNAL OF COMMUNICATION
JOURNAL OF DOCUMENTATION JOURNAL OF INFORMATION SCIENCE
JOURNAL OF LIBRARIANSHIP AND INFORMATION SCIENCE JOURNAL OF THE AMERICAN SOCIETY FOR INFORMATION SCIENCE AND TECHNOLOGY
JOURNALISM & MASS COMMUNICATION QUARTERLY KNOWLEDGE ORGANIZATION
LANGUAGE & COMMUNICATION
LIBRARY & INFORMATION SCIENCE RESEARCH LIBRARY QUARTERLY
LIBRI
MEDIA CULTURE & SOCIETY MEI
MOTS : LES LANGAGES DU POLITIQUE MUSEUM INTERNATIONAL
NEW MEDIA & SOCIETY NOUVEAUX ACTES SEMIOTIQUES ONLINE INFORMATION REVIEW
PERSPECTIVAS EM CIENCIA DA INFORMACAO PROTEE
PUBLIC CULTURE
PUBLIC OPINION QUARTERLY
PUBLIC UNDERSTANDING OF SCIENCE QUESTIONS DE COMMUNICATION RECHERCHES EN COMMUNICATION RESEAUX
REVISTA ESPANOLA DE DOCUMENTACION CIENTIFICA REVISTA LATINA DE COMMUNICACION SOCIAL
REVUE DES REVUES
RIHM Revue des interactionshumaines médiatisées, Journal of human mediated interactions
SCIENCE COMMUNICATION SCIENCES DE LA SOCIÉTÉ SCIENTOMETRICS
SEMEN
SOCIÉTÉS ET REPRÉSENTATIONS SPIRALE
STUDIES IN COMMUNICATION SCIENCES TEMPS DES MÉDIAS (Le)
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